La formule « L’humain d’abord » déclinée à l’envie et dans toutes les nuances, est aujourd’hui sur toutes les lèvres. Désormais, il n’y a plus que les criminels qui osent « œuvrer » sans se placer sous l’égide de « l’humain ». Comme Wolé Soyinka (prix Nobel de littérature 1986), je pense que « le tigre ne crie pas sa tigritude, il bondit sur sa proie et la dévore ». L’humain ne se proclame pas, les bonnes actions n’ont pas besoin de porte-voix. C’est un truisme de le dire! « l’humain d’abord », c’est donc souvent un leurre! C’est l’objet de ma dernière vidéo sur Xerfi Canal